Vous le voyez de plus en plus sur vos appareils et dans les magasins, l’USB-C est présent sur de nombreux appareils. Il sembleêtre en apparence un autre type de format USB comme le format USB-A que vous connaissez tous. Mais cet USB-C cache bien son jeu !
Un câble USB-C est capable de supporter de nombreux flux différents. On pourra y envoyer l’habituel flux USB (USB 2.0, USB 3.1 Gen 1, USB 3.1 Gen 2), du courant (jusqu’à 100W), un flux vidéo Display Port ou HDMI, un flux Audio (via le protocole USB) ainsi qu’un flux Thunderbolt 3 / 4.
Contrairement à un câble USB-A qui compte 4 pins pour les données et le courant, l’USB-C en compte 24, dont seulement 12 seront utilisables (l’aspect réversible oblige). Mais là n’est pas le souci. Le principal problème est que tous ces pins ne sont pas obligatoirement connectés, l’USB-C étant un format de connecteur, il n’oblige pas les fabricants à exploiter toutes les technologies. Et ceci sur les appareils ou les connectiques.
Le problème sera alors de savoir quelles sont les capacités de chaque port et de chaque câble. Un câble USB-C peut très bien alimenter votre téléphone ou envoyer des données, mais il ne fera peut-être pas de flux vidéo ou Thunderbolt.
Lorsque la technologie sera plus ancrée dans le marché, un seul câble suffira quel que soit l’usage. Plus besoin de perdre son temps à chercher un câble précis, l’USB-C pourra tout faire. Le plus pratique sera chez vous ou au travail, en branchant un seul câble USB-C, vous pourrez connecter un écran externe, tous vos appareils (clavier, souris, caméra, micro, etc…) et même charger votre ordinateur. De quoi gagner du temps et de la praticité !
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